Dans le prochain épisode de “Un si grand soleil”… Alain est tiré d’affaire. De leur côté, les Aguerra ignorent un danger imminent qui plane sur eux.
Attention, les paragraphes qui suivent contiennent des spoilers sur l’épisode d’Un Si Grand Soleil diffusé demain soir sur France 2 ! Si vous ne voulez rien savoir, ne lisez pas ce qui suit !
Vendredi 26 avril dans Un si grand soleil…
Alain se remet doucement de son malaise cardiaque
A l’hôpital, Elisabeth continue de veiller sur Alain. Claire la prend à part pour discuter avec elle. Elle veut savoir si ce qui est arrivé à Alain l’a fait réfléchir, ce qui est le cas. Elisabeth admet qu’elle a toujours des sentiments pour lui, mais elle estime que cela ne sera pas suffisant pour lui pardonner.
Claire lui explique alors qu’Alain a été victime du syndrome du cœur brisé, aussi appelé syndrome tako-tsubo. Cela signifie qu’il a eu une réaction physique suite à un choc émotionnel fort. Les larmes montent aux yeux d’Elisabeth.
Quelques instants plus tard, elle rejoint Alain dans sa chambre. Elle lui avoue qu’il l’a beaucoup effrayé avec son malaise cardiaque. Alain lui confie alors qu’il aimerait pouvoir remonter dans le temps et ainsi effacer toutes ses bêtises. Elisabeth lui répond qu’il a besoin de repos et qu’il ne doit pas stresser à propos de ça.
A L Cosmétiques, Boris reçoit un appel de sa mère. Elle l’invite à un dîner familial qui aura lieu ce soir mais le jeune homme refuse de venir. Catherine insiste, soulignant que ce sera le moment idéal pour régler leurs différends familiaux et enterrer la hache de guerre.
Malheureusement, Boris reste persuadé que ses parents complotent quelque chose et il ne veut pas y être associé. Il tient également sa mère pour responsable du malaise cardiaque d’Alain. Boris met ensuite fin à leur conversation.
A l’hôpital, Alain reçoit la visite de Flore et Tiago, qui lui confient qu’ils se sont beaucoup inquiétés pour lui. Tiago donne à son grand-père un manga afin qu’il se divertisse. De son côté Elisabeth est au téléphone avec Claudine.
Elle refuse catégoriquement que Catherine fasse partie du comité de direction. Elisabeth demande ensuite à Claudine de transmettre le message à François. Elle précise que s’il insiste, elle se passera de lui en tant que directeur du groupe.
Elisabeth estime qu’elle peut gérer les deux postes : la direction et la présidence. Claudine lui fait remarquer que ses 60% de parts du capital ne la protègent pas et qu’avec ses 40%, François détient la minorité de blocage.
Elle risque de paralyser la société qu’ils viennent de créer ensemble, ce qui ne serait pas dans son intérêt. Elisabeth lui répond sèchement qu’elle sait parfaitement où est son intérêt et elle raccroche aussitôt.
Du côté des employés, l’inquiétude grandit. Depuis le vote de la fusion, ils ne savent toujours pas quel sera leur avenir au sein de l’entreprise. Ils se posent également des questions sur les tensions entre Elisabeth et François. Berthier ne sait quoi leur répondre.
Non loin de là, Catherine et François annoncent à Laurine qu’ils ont décidé de sauver leur mariage. Catherine regrette cependant que Boris ne soit pas là. Elle aurait voulu être en famille. François est persuadé que le jeune homme va revenir quand il va réaliser où est son intérêt. Mais Laurine reste sceptique.
Un cambriolage tragique
Philippe prend son petit-déjeuner avec Anne qui est surprise de voir qu’Arnaud n’est toujours pas réveillé. Philippe explique qu’il avait une soirée, et qu’il s’est probablement couché tard. Il saisit cette occasion pour dire à Anne qu’il ne veut pas parler à Arnaud de l’appel de Janet.
Il ne veut pas lui donner de faux espoirs. Il a juste été mis sur la liste d’attente pour une greffe, cela ne veut pas dire qu’il va avoir un nouveau cœur. Elle lui rappelle cependant que justement, il a une seconde chance. Avant qu’Anne ne quitte la maison, Philippe la remercie pour son soutien.
Au lycée, Thaïs débriefe sa soirée de la veille avec Maéva. Elle confie à son amie qu’Arnaud l’a embrassée, mais elle l’a repoussé. Elle ne veut pas sortir avec lui parce qu’il est le fils de son patron.
Elle espère juste qu’elle ne lui a pas donné de faux espoirs en l’accompagnant à la soirée. Maéva la rassure, elle n’a rien à se reprocher. Il va s’en remettre. Mais Thaïs n’y croit pas. Arnaud est très fragile en ce moment. Son père va mourir et en plus de cela elle le repousse. Maéva répète encore une fois à Thaïs qu’elle n’y est pour rien.
En fin de journée, Anne appelle son mari pour lui annoncer qu’elle rentrera tard et leur conseille de ne pas l’attendre pour manger. Peu de temps après, Thaïs arrive pour prendre son service et propose de préparer le dîner.
Arnaud se lève pour l’aider. Il en profite pour lui présenter ses excuses suite au baiser de la veille. Il se sent mal, et il ne veut pas qu’elle arrête de travailler pour son père qui l’adore. Thaïs le rassure. Elle ne lui en veut pas du tout. Elle ne lâchera pas Philippe. Rassuré, Arnaud invite la jeune femme à rester diner avec lui et son père.
A la nuit tombée, deux hommes vêtus de noir et cagoulés pénètrent dans la propriété. Ils sont armés. Avant de passer à l’action, ils imbibent un morceau de tissu de chloroforme. Pendant ce temps, Philippe, Arnaud et Thaïs sont à table en train de dîner. C’est à ce moment-là que quelqu’un frappe à la porte.
Arnaud se lève pour ouvrir et se retrouve face à deux individus armés. L’un d’eux fait inhaler du chloroforme à Arnaud qui perd connaissance. C’est ensuite au tour de Thaïs. Puis les deux individus menacent Philippe et lui demandent de leur dire où se trouve le coffre. Ce dernier les conduit dans son bureau.
Quelques minutes plus tard, Anne rentre chez elle. Les deux voleurs viennent tout juste de quitter la propriété. Anne est sur ses gardes quand elle entre dans la maison. Elle retrouve Arnaud et Thaïs inanimés. Ils reprennent peu à peu leurs esprits mais ne savent pas où se trouve Philippe. Anne appelle son époux et le retrouve allongé par terre dans son bureau. Il est inconscient.