Ce jeudi 16 mai dans sa story Instagram, Souad Romero a dévoilé une nouvelle astuce de ménage. Cette fois-ci, elle a expliqué comment retirer les mauvaises odeurs des T-shirts de sport.
Dans l’émission Familles nombreuses : la vie en XXL ou bien sur son compte Instagram, où elle est suivie par plus de 262 000 personnes, Souad Romero partage très régulièrement ses astuces de ménage. “Les astuces de Soussou” ont repris du service ce jeudi 16 mai. Dans sa story Instagram, la mère de famille a donné ses conseils pour éviter les mauvaises odeurs sur les T-shirts de sport. “Vaporiser du vinaigre en dessous des bras des maillots de foot ou tous types de tissus pour éviter les mauvaises odeurs, et en plus, ça va raviver les couleurs”, a-t-elle indiqué sur le réseau social avant de préciser : “Mettez un verre de vinaigre blanc à la place de l’adoucissant dans le bac à lessive lors de votre cycle de lavage et le tour est joué.”
Souad Romero (Familles nombreuses) donne une seconde astuce
Souad Romero a ensuite donné une autre astuce pour cette fois-ci retirer les taches diverses. Une manipulation à faire avant de mettre le linge dans la machine à laver. “Les auréoles jaunes en dessous des bras et taches incrustées depuis X temps. À faire avant lavage à sec et à froid avec de l’eau oxygénée et un peu de liquide vaisselle directement sur la tache. Rapide et efficace. Vous laissez agir au moins une dizaine de minutes avant de mettre en machine et le tour est joué”, a expliqué celle qui fait un régime.
Souad Romero (Familles nombreuses), la pro des économies
Chez les Romero, il n’y a pas de petites économies. En faisant ses propres produits ménagers, Souad évite un passage en caisse qui peut coûter cher. D’ailleurs, la mère de famille a récemment expliqué que si elle ne peut pas se permettre de flamber son argent, elle donne beaucoup de son argent et de son temps à son association. “Avec mes sœurs, il y a plusieurs mois, on a créé l’association Au Cœur XXL pour venir en aide aux personnes les plus démunies, qui nous attendent avec impatience un vendredi sur deux. […] On n’a pas d’argent, mais on achète chacune ce qu’il va nous falloir pour telle ou telle maraude. […] On est là, on met des gants, on y va.”