“On n’a tellement pas l’habitude” : Marie-Caroline Cail (Familles nombreuses) dévoile la concession faite pour partir en vacances avec les Baudrand

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Dans le numéro inédit de Familles nombreuses : la vie en XXL de ce jeudi 3 octobre, Marie-Caroline et Gullaume Cail sont arrivés au camping avec leur six enfants. Mais les parents se rendent vite compte de leurs multiples oublis…

Inédit dans l’émission ! En quatre ans d’antenne, Familles nombreuses : la vie en XXL offre pour la première fois un crossover entre plusieurs tribus. Elles sont trois, en l’occurence, à se retrouver en Ariège le temps d’un séjour résolument grandiose. Dans l’épisode diffusé ce mercredi, Marie-Caroline et Guillaume Cail ont révélé leur coup de foudre amical pour Céline et Clément Baudrand. Si bien que ces parents ont rapidement décidé de partir en vacances ensemble ! Sur le chemin, ils retrouvent les Boibessot, comme l’avait dévoilé Audrey sur Instagram l’été dernier.

Marie-Caroline Cail (Familles nombreuses) découvre les joies du camping

Enchantée à l’idée de s’octroyer une parenthèse ressourçante, Marie-Caroline n’est pas au bout de ses peines dans le numéro proposé ce jeudi 3 octobre sur la Une. Arrivée sur les lieux avec hâte, la maman de six enfants glisse : “J’installe tout de suite les lits, je prépare tout pour profiter au plus vite. Je n’ai pas envie de passer mon aprèm à ranger !”. Mais elle se retrouve vite dépassée par les draps, qu’elle a emportés, aux dimensions beaucoup trop grandes pour la surface se présentant face à elle. “J’ai fait n’importe quoi ! On n’a tellement pas l’habitude d’aller au camping que je ne sais plus où donner de la tête. C’est un peu la panique”, avoue la la responsable recrutement de 34 ans qui a donc fait une petite concession pour retrouver ses amis.

Marie-Caroline Cail (Familles nombreuses) évoque la quantité considérable d’objets oubliés avant leur séjour au camping

Les découvertes se poursuivent pour les Cail au moment du repas. Une fois le déjeuner servi, Guillaume s’aperçoit qu’un outil précieux de son quotidien manque à l’appel. “À la maison, on a deux lave-vaisselles”, précise le directeur d’une école. Et son épouse de remarquer à son tour : “On va devoir faire la vaisselle, les gars ! Je réalise qu’on est quand même en rade de pas mal de choses, les torchons, les serviettes, les éponges, les produits pour faire la vaisselle, le papier toilette, la lessive. C’est vraiment tout nouveau pour nous“. Ces trentenaires espèrent ainsi “pouvoir taxer le bungalow d’à côté quand [les locataires] vont arriver”.

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