Ce lundi 18 mars, à l’occasion de lancement de la huitième saison de Mariés au premier regard, Estelle Dossin, la psychologue du programme, était l’invitée du Buzz TV. Au cours de cet entretien, elle a évoqué le refus le jour du mariage d’un candidat, un événement rare.
Un événement rare auquel ils doivent être préparés ! Ce lundi 18 mars, les téléspectateurs ont découvert le premier épisode de la huitième saison de Mariés au premier regard sur M6. Les experts Estelle Dossin et Gilbert Bou Jouadé ont rempilé pour une nouvelle saison ensemble pour accompagner les 15 candidats de cette édition dans leur quête de l’amour et surtout de compatibilité. Au cours du premier épisode, le public a fait la rencontre de Tracy et Flo, qui sont compatibles à 81%, un bon signe pour la suite de leur histoire. Cependant, le jeune homme de 32 ans a appris une bien triste nouvelle juste avant son départ pour son mariage à Gibraltar. Le couple a-t-il tout de même décidé de se dire oui ? Découvrez la réponse dans notre article spoiler.
Estelle Dossin (Mariés au premier regard) “prépare les participants” à un potentiel refus le jour du mariage
Cette nouvelle saison de Mariés au premier regard promet bien des rebondissements aux téléspectateurs, puisqu’un candidat dira non, une séquence qui ne s’était pas reproduite depuis la première saison. “Ça vous a surpris ? Parce que vous êtes présente à chaque fois dans l’assistance”, a demandé la journaliste Sarah Lecœuvre à Estelle Dossin ce lundi 18 mars dans l’émission le Buzz TV. “Oui ! C’était la première fois parce que le premier ‘non’ était pendant la première saison et je n’étais pas là encore”, a-t-elle confié, et de poursuivre : “Pour ne rien vous révéler de secret, on s’y prépare toujours. Non seulement en tant qu’expert, mais on prépare aussi les participants”.
“On a été surpris…“, Estelle Dossin (Mariés au premier regard) réagit au candidat qui a dit “non” pendant la cérémonie
Estelle Dossin a alors expliqué qu’il était très important pour eux de préparer les candidats à cette éventualité “pour la simple et bonne raison qu’on ne les oblige à rien”. “Ils savent qu’ils peuvent dire oui, mais ils savent aussi qu’ils peuvent dire non pour les raisons qui leur appartiennent. On n’est pas là pour les forcer, on n’est pas là pour indiquer ce qu’ils doivent faire. Mais effectivement, il y a toujours un petit décalage son et lumière entre le moment où l’on se prépare à quelque chose et tout à coup ça arrive”, a-t-elle ajouté pendant l’entretien, et de conclure à propos de ce refus : “On a été surpris… Et on a géré le problème immédiatement !”