L’essayage des robes est une séquence marquante de Mariés au premier regard. Paul et Nathalie Cherqui, les fournisseurs de ces tuniques, ont exprimé chez Sam Zirah leur désarroi quant à une vilaine habitude des candidats déçus par la tournure de leur union.
Le cœur a ses raisons que la science ignore parfois. Sinon comment expliquer que seuls deux couples formés par les experts de Mariés au premier regard perdurent après l’expérience. Cette huitième saison pourrait relever les statistiques, à condition que les candidats sélectionnés y mettent un peu du leur. Ce qui n’est pas encore le cas, une vilaine pâte venant refroidir l’union entre Alice et Florian. Quant à Clémence, elle est tombée de trois étages après que Romain lui a carrément dit “non” devant le maire et toute sa famille. La cheffe d’entreprise ignorait alors que son prétendant devait initialement épouser Camille…
Pourtant, comme toutes les célibataires censées voyager jusqu’à Gibraltar, Clémence est passée par la case de l’essayage de robes. Et a effectué son choix parmi toute une farandole de tuniques plus belles les unes que les autres. Ce sont Paul et Nathalie Cherqui, à la tête de trois boutiques, qui jouent les fournisseurs du programme de M6. “Nous avons un contrat de partenariat avec la production et nous avons plaisir à le faire”, a confié le couple responsable des tenues dans un entretien accordé au Youtubeur Sam Zirah.
“Cela me rend fou”, confie Paul Cherqui qui habille les candidates de MAPR
Si leur vie a totalement changé depuis le début de cette collaboration, les heureux commerçants regrettent néanmoins que certaines participantes tirent profit des robes de mariée qui leur sont gracieusement offertes. Des robes qui s’arrachent parfois à prix d’or après l’émission. “Cela me rend fou et m’énerve terriblement, ce n’est pas correct vis-à-vis de nous”, estime Paul Cherqui. “Nous offrons ces robes de bon cœur dans le cadre de ce partenariat. Après, elles en font ce qu’elles veulent, elles leur appartiennent. Mais ce n’est pas correct”. Mais cet enquiquinement en vaut parfois la chandelle, l’émission restant un “panneau publicitaire” important pour la prospérité de leur affaire. Une union gagnant-gagnant.