Ce mercredi 8 mai était un jour de travail pour Olivier Gayat ! Le peintre en bâtiment et papa emblématique de Familles nombreuses : la vie en XXL était quelque peu en difficulté face à son nouveau chantier.
Cette année marque le retour de la famille Gayat sur TF1. Après deux ans et demi d’absence, Soukdavone et Olivier ont accepté de rouvrir les portes de leur maison dans le cadre des tournages de Familles nombreuses : la vie en XXL et beaucoup de choses ont changé. Ces parents de neuf enfants apprennent à vivre avec seulement trois enfants à la maison. Une nouveauté que la mère de 48 ans a encore du mal à assimiler. En effet, de sortie pour faire quelques courses avec son mari dans un épisode de l’émission, celle qui a quitté l’entreprise familiale de sa fille a bien eu du mal à réduire les dépenses.
Quand Olivier Gayat (Familles nombreuses) charriait son épouse sur ses dépenses pendant les courses
Avant le passage en caisse, Olivier Gayat avait indiqué à sa femme à la main trop généreuse : “Par contre, n’oublie pas qu’on n’a plus les neuf enfants à la maison, parce que là, si tu commences à trop remplir… Elle fait pour dix au lieu de faire pour cinq”. Ce à quoi Soukdavone avait répondu l’air coupable : “C’est un réflexe, une habitude qui restera toujours. De toute façon, je ne changerais pas, je serais toujours comme ça”. Car si le couple gagne décemment sa vie, le papa travaille encore énormément pour subvenir aux besoins des siens. Preuve en est : sa story du jour sur Instagram où le peintre en bâtiment s’est filmé sous un soleil de plomb en train de réaliser différents travaux sur le toit d’une propriété. Et le chef d’entreprise semblait très éprouvé par sa mission.
Olivier Gayat (Familles nombreuses) éprouvé par un nouveau chantier
Le visage affichant déjà quelques rougeurs, le papa de Mathieu, Olivia, Téo, Chloé, Elsa, Alicia, Rudy, Nolane et Jade a déclaré un brin essoufflé : “Regardez comment je peins ! Ça fait longtemps que je ne me suis pas fait chier comme ça, je vous jure, j’en chie. J’ai bientôt fini”. Il a ainsi passé une bonne partie de son après-midi à gratter puis repeindre des bouts précis d’une charpente, le tout dans un espace très étriqué. “Ça va être trop chaud, je suis dégoûté”, a indiqué l’entrepreneur à son compte qui est tout de même parvenu à finir les travaux.