Ce jeudi 18 avril, Audrey Hubert s’est confiée dans une foire aux questions sur ses relations avec les autres mamans de Familles nombreuses : la vie en XXL, mais aussi sur une habitude qu’elle a prise avec les deux derniers garçons de la fratrie.
Révélée dans l’émission Familles nombreuses : la vie en XXL, Audrey Hubert, mère de sept garçons dont deux paires de jumeaux, continue de partager son quotidien sur les réseaux sociaux depuis son départ du programme. Récemment, elle s’est exprimée sur les progrès scolaires de son fils Baptiste et a mis en avant les exploits sportifs de son troisième fils, Paul, qui, malgré une malformation congénitale, s’illustre dans le football. Le 9 avril dernier, Audrey Hubert a exprimé son mécontentement après une rencontre avec la directrice de l’école de ses fils. “J’ai dépassé le seuil légal d’absences, il faut qu’ils restent à l’école ! Sinon, je risque de recevoir les services sociaux à la maison ? Je n’ai pas supporté les explications qu’elle m’a données…” avait-elle déclaré.
Audrey toujours en contact avec les autres familles ?
La maman qui projette de reprendre son poste dans une société d’ambulances en septembre, après trois ans de congé maternité, avoue ne pas avoir eu le temps de découvrir les nouvelles familles du programme. Révélée sur nos écrans en 2022, elle répond aux questions de ses abonnés sur ses relations avec les autres tribus : “J’ai pu rencontrer certaines familles et d’autres avec qui je discute sur Instagram.”
Audrey Hubert (Familles nombreuses) : “Il a fallu les différencier”
Dans cette même session de questions-réponses, Audrey Hubert aborde un sujet qui revient souvent dans ses messages privés : les petits derniers de la fratrie, les jumeaux Gabriel et Raphaël, qui entreront en maternelle à la prochaine rentrée scolaire. “Pourquoi tu appelles les derniers ‘les bébés’ ?” demande un internaute. “On me fait souvent la remarque… Ouais, ils grandissent et ce ne seront plus des bébés, donc il faut peut-être que j’arrête”, admet-elle. “Ce sont mes derniers, donc pour moi, ils vont être bébés très longtemps ! Je les appellerai comme ça jusqu’au jour où ils me diront stop. C’est une façon, chez nous, de savoir de qui on parle. Il a fallu les différencier.”