Hanaa Elah a démarré le protocole pour devenir maman pour la cinquième fois dans l’épisode de Familles nombreuses : la vie en XXL diffusé sur TF1, ce mercredi 19 juin. Une démarche qui la stresse, comme elle l’a confié aux caméras de l’émission.
A la faveur de la huitième saison de Familles nombreuses : la vie en XXL, les téléspectateurs ont fait la connaissance de plusieurs nouvelles tribus. Hanaa et Irshad Elah sont à la tête d’une fratrie de quatre enfants : Aylan, 6 ans, Keyden, 5 ans, et les jumeaux Eyna et Emyr, 1 an. Mais comme l’avait expliqué la jeune femme, elle a dû mener un véritable parcours du combattant pour réaliser son rêve et devenir maman. “Stérile c’est fini, on ne m’appellera jamais maman. C’est cuit, il n’y a rien à faire, c’est mort pour moi”, s’était-elle remémorée. Mais grâce à un nouveau praticien, elle a repris espoir. “Je décide à ce moment-là de changer de gynécologue. Il me fait une échographie et me dit que j’ai un syndrome des ovaires polykystiques. Il me dit que ça va être pire que difficile mais qu’il y a une lueur d’espoir parce que le seul traitement pour devenir mère serait un protocole médicalement assisté”, avait-elle témoigné.
Hanaa Elah (Familles nombreuses) démarre son traitement pour devenir mère pour la cinquième fois
Dans les épisodes de Familles nombreuses : la vie en XXL diffusés sur TF1, Hanaa Elah a fait part de son intention de devenir maman pour la cinquième fois. “Le projet bébé est lancé ! On est parti pour lancer le protocole, tout ce qui est traitement, injections…”, a-t-elle annoncé. Mais ce processus n’a rien d’anodin pour la jeune femme, comme elle l’a rappelé dans l’inédit de ce mercredi 19 juin. Elle doit se conformer à son traitement pour espérer devenir mère à nouveau. “Pour moi, aujourd’hui, c’est normal de vivre les choses comme ça. Faire un bébé, c’est comme ça. On commence les traitements. Si je n’ai pas de traitement, je n’ai pas de bébé”, a-t-elle expliqué face caméra. “Je suis stressée de fou”, a-t-elle lancé à son mari au moment de prendre son premier cachet. “C’est un peu dur de vivre ça. Je me dis : ‘On n’a pas le droit à cette facilité’. On est un peu privés de cette quiétude, de se dire ‘en fait, on va essayer, on verra ce qui arrivera’. Alors que nous, non, ça n’existe pas“, a-t-elle déploré.
“Il faut tout calculer”, regrette Hanaa Elah (Familles nombreuses)
Hanaa Elah a déploré que la démarche manque de spontanéité. “Il faut tout calculer, il faut mettre des alarmes, des réveils. On a des heures où on doit prendre certains médicaments. Tout est calculé. Donc on n’a pas cette quiétude de ‘et si on essayait de faire un bébé’. Ca n’existe pas chez nous”, a-t-elle indiqué. En prenant son traitement, la mère de famille a rappelé à son époux que sa gélule allait lancer leur nouveau projet bébé. “Ce projet de bébé, il vient de ma part”, a alors précisé Irshad. Après s’être assurée que son mari avait bien conscience de sa demande, Hanaa Elah s’est lancée à corps perdu dans les démarches nécessaires à une nouvelle grossesse. “Tu m’as dit oui, je fonce”, a-t-elle mis en garde son compagnon. Car comme elle l’a rappelé, son traitement n’est pas sans conséquences. “Tout le protocole médical, c’est des hormones, donc en fait ça chamboule tout mon corps. Physiquement, on prend, on perd du poids, on a mal. Emotionnellement, c’est dur parce qu’on est toute chamboulée. (…) C’est très dur émotionnellement à vivre”, a-t-elle signalé. Mais pour Hanaa Elah, “l’appel de la maternité” est trop fort pour renoncer.